France 3 affirme dans son article que Thomas Lutz, conseiller régional et candidat aux élections législatives dans la première circonscription du Doubs « a traité une élue de untermensch » lors de la dernière Assemblée plénière régionale. Thomas Lutz s’était expliqué sur ses propos via un communiqué de presse envoyé aux médias régionaux, dont la rédaction de France 3 avait d’ailleurs eu pleinement connaissance.
Thomas Lutz n’a en aucun cas insulté une élue de la République. La présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite Dufay, ne faisant pas respecter les mêmes temps de parole en fonction du groupe politique, Thomas Lutz avait alors dénoncé cette attitude, affirmant que les élus de son groupe n’étaient pas des « untermensch », terme inadapté pour lequel il a présenté ses excuses.
France 3 et les autres chaînes du service public, en mettant toutes leurs forces dans la campagne pour dénigrer le RN, n’ont cependant aucun mot pour qualifier l’investiture de Raphaël Arnault, candidat du Nouveau Front Populaire, fiché S pour violence. 8 hommes de la Jeune Garde, groupuscule ultra-violent qu’il dirige, ont d’ailleurs été mis en examen pour avoir passé à tabac un jeune juif de 15 ans. Pas un mot non plus du service public et de sa prétendue « neutralité », sur la candidature de Philippe Poutou, dont son parti le NPA a été sous le coup d’une enquête pour « apologie du terrorisme » pour des propos antisémites tenus le 7 octobre.
Le Rassemblement National de Bourgogne Franche-Comté dénonce ces méthodes crasses qui méprisent les millions d’électeurs qui accordent leur confiance pleine et entière à Marine Le Pen et Jordan Bardella. Le groupe RN rappelle d’ailleurs que les Français financent chaque année à hauteur de 4,5 milliards d’euros le service public et aimeraient avoir des journalistes capables de les représenter sans les discriminer et les insulter à longueur de journée par des mensonges grossiers.
Le groupe RN BFC