Les images de l'inauguration.
Organisation et ponctualité ne sont pas des vains mots chez les sapeurs-pompiers. La cérémonie d’inauguration a été menée de main de maître par les organisateurs.
Autour du Préfet Yves Séguy, du président de l’assemblée des Départements de France, François Sauvadet, du maire de Mâcon Jean-Patrick Courtois, du Député Benjamin Dirx, du président de la fédération nationale des SP, Jean-Paul Bosland et du directeur du SDIS Frédéric Pignaud.
Le cortège des officiels a d’abord salué le drapeau de la fédération nationale des Sapeurs-Pompiers puis les Sapeurs-Pompiers et JSP présents avant d’honorer la mémoire des soldats décédés en intervention, en présence de veuve d’un pompier de Haute Garonne Isabelle Ballerin Casteran.
Le cortège a ensuite écumé le salon professionnel, un moment d’affaires très important pour les entreprises des métiers de l’incendie : véhicules, équipements de protection, logiciels…
Préparer la sécurité civile de demain
Dans son allocution, Frédéric Pignaud a dit toute sa fierté et son émotion, associant l’autre-coprésident du comité d’organisation, Thierry Vuillemin. Il a également rendu hommage à David Thibault, pompier de Joncy, créateur du logo du congrès, décédé brutalement en février dernier.
Ce congrès sera un temps d’échanges important pour les pompiers, pour partager leurs expériences, leurs difficultés comme leurs réussites et débattre de l’avenir de la sécurité civile. Jean-Patrick Courtois rappelait combien les SP avaient été déterminants lors des émeutes de l’été 2023, pour éviter la propagation des incendies, malgré les menaces. Le président Accary appelait à préserver le modèle de sécurité civile français, à mettre tout le monde autour de la table pour dégager les moyens financiers nécessaires.
En conclusion Yves Séguy, soulignait que la manifestation était au-delà d'un salon professionnel, aussi un temps sociétal et il a assuré le soutien de l’État pour faire face à cette grande révolution des vulnérabilités.
Sapeurs-pompiers, entreprises, collectivités, services de l’État ont maintenant quatre jours pour travailler ces sujets, dans une ambiance conviviale.
DB