Ses membres étaient réunis mardi matin au château de la Barge à Chaintré
La vie suit son court au club des hôteliers du Mâconnais, qui compte 26 membres sur une zone géographique allant de Tournus à Fleurie, dans le Rhône, en passant par Replonges, dans l'Ain.
Les hôteliers seront occupés cette année à réviser le panotage sur fond jaune en place dans la ville de Mâcon depuis 2000.
Le club participe entre autres à l'opération Roses du Zonta club à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes.
À noter un changement d'enseigne et une nouvelle direction au Fasthôtel de Mâcon Nord, qui est devenu Brit Essentiel, dirigé par Anaïs Hugede depuis décembre 2024.
Autre sujet qui occupera certainement les hôteliers et hôtelières dans les prochaines semaines : la taxe de séjour. Un article récent paru dans le Figaro immobilier a mis la puce à l'oreille : Airbnb condamné à payer plus de 8 millions d’euros à l’île d’Oléron pour non-collecte de la taxe de séjour. Olivier Burgaud, patron de l'hôtel d'Europe et d'Angleterre a proposé au club de se saisir de ce dossier, « qui concernerait d'autres collectivités, dont la notre, MBA. » Si la taxe de séjour n'est pas perçue par les hôteliers, il n'en reste pas moins que son absence dans les chambres louées via la plateforme Airbnb introduit une concurrence déloyale et un manque à gagner pour la collectivité. À suivre.
R.B.
Jérôme Pouponnot en assure la présidence depuis 10 ans
Présence de Denis Noton, représentant le maire de Mâcon, et de Louis-Mickaël Graal, directeur de l'office du tourisme