« Il n’y a pas à dire, les JO 2024 de Paris ont permis une grosse publicité à cette nouvelle discipline olympique avec les démonstrations de break dance. » Ce sont les propres mots de Rachid Oussaïd, directeur de la MJC des Blanchettes, qui a enregistré une augmentation notable des demandes d’adhésion pour le hip-hop et le break dance.
Le break dance, également appelé breaking, est une danse urbaine qui trouve ses racines dans les quartiers défavorisés de New York à la fin des années 1960 et au début des années 1970. Inspirée par les mouvements de danse afro-américains et latino-américains, elle s’est développée en parallèle à la musique hip-hop et au graffiti, formant ainsi la culture hip-hop.
Vendredi soir à la salle des fêtes de Sennecé-les-Mâcon, les meilleurs crews des deux régions voisines, avaient envoyé leurs tops b-girls et b-boys (danseuses et danseurs de break dance) dans le but de se rencontrer, mais également de progresser.
Les clubs de Mâcon, Cluny, Oyonnax, Chalon, Montrevel, Louhans, Sornay, Lyon, Vaux-en Velin, Villefranche et Bourg étaient représentés, sous la houlette de Philippe Bard, l’entraineur mâconnais et organisateur de la soirée.
Classées en plusieurs catégories, de Kids à plus de 16 ans, les battle, en solo ou en double, se sont enchainées sans temps mort, au son des musiques envoyées par Nesty, DJ lyonnais, et animées par Willy Style, presque sosie de Gims, le speaker français du Red Bull BC one, qui est la plus grande compétition de breaking du monde.
Vous voulez découvrir cette belle discipline ? Une seule adresse :
MJC des Blanchettes Chemin des Moulins à Mâcon
03 85 38 07 86
Rémy Mathuriau
Gaston Malenfer, trésorier de la MJC, avec la protection civile
Nesty, le DJ lyonnais, a su mettre l'ambiance !
Philippe Bard, entraîneur de Breakdance à la MJC des Blanchettes
Willy Style, speaker de la RedBull BC One