Communiqué de l'ARS Bourgogne-Franche-Comté :

L’épidémie continue son recul progressif dans tous les départements de Bourgogne-Franche-Comté mais le niveau de circulation du virus exige encore une forte attention collective. Il n’est pas trop tard pour la vaccination, en particulier celle des enfants.

Avec une incidence en population générale en baisse de 40% par rapport à la semaine précédente, le repli de l’épidémie se confirme en Bourgogne-Franche-Comté.

Le taux de positivité des tests, toujours proche de 30%, montre néanmoins que le risque n’est pas levé et requiert le maintien de la prudence dans la vie quotidienne.

L’impact sur l’hôpital, qui reste élevé, invite à rester mobilisé sur la prévention et le respect des consignes d’isolement.

 

Vacciner les enfants aujourd’hui, les protéger demain

Compte-tenu du niveau élevé de couverture vaccinale de la population (plus d’1,65 million d’habitants de la région ont bénéficié d’un rappel) et de la diminution des besoins, le maillage des centres de vaccination est progressivement réduit pour s’adapter à l’activité.

Il est toujours possible de se faire vacciner, facilement et rapidement, en proximité, auprès des professionnels de ville qui demeurent pleinement engagés dans la campagne : médecins, pharmaciens, infirmiers...

L’ARS relaie en particulier les messages du professeur Alain Fischer, président du conseil national d’orientation pour la stratégie vaccinale, pour rappeler aux professionnels de santé et aux familles les bénéfices de la vaccination des 5-11 ans, encore insuffisante (moins de 12 000 enfants couverts par une première dose dans la région). Au-delà des semaines qui viennent, il faut préparer l’avenir : @ la vaccination des enfants aujourd’hui leur servira à construire leur mémoire immunitaire et à les protéger ultérieurement A.

Depuis le début de l’épidémie en Bourgogne-Franche-Comté, 5 903 personnes sont décédées à l’hôpital des suites d’une forme sévère de la maladie ; 2 407 en établissements médico-sociaux.

 

 


NDLR : Rappelons ici la résolution 2361 adoptée par le conseil de l'Europe en janvier 2021 au sujet de la vaccination de masse, en particulier ses articles 7.3.1 et 7.3.1 :

« 7.3 pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins:

  • « 7.3.1 de s'assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n'est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s'il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement
  • « 7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner

 

À l'aune de ces extraits et de la constitution française, nous n'avons pas souhaité relayer les appels hebdomadaires de l'ARS à la vaccination, en particulier celles des enfants, qui n'ont aucun bénéfice à la vaccination comme l'ont dit et répété de nombreux professeurs et docteurs en médecine, le professeur Peyromaure parlant même d'hérésie pour qualifier la vaccination des enfants.

Nous le publions aujourd'hui pour montrer aux lecteurs le niveau de propagande qu'entretient l'administration de tutelle des hôpitaux, au mépris des mobilisations populaires (Mamans louves, convoi de la liberté, collectifs citoyens) et des mises en gardes de nombreux scientifiques, professeurs de médecine.

R.B.