La grande famille de la justice et du droit était réunie autour de Bruno Rivier, bâtonnier sortant.

Il avait bien fait les choses en accueillant au château de Pruzilly ses confrères, consœurs, et ami.e.s du monde judiciaire, et de l’environnement social et économique entourant ces professions du Droit.
D’emblée avec une chaleureuse simplicité, il tient à nous présenter son assistante Ingrid Bayardon : « sans qui cette rencontre n’aurait pu avoir lieu, elle est l’unique collaboratrice du Barreau et son action est déterminante pour nous. »

Dans la cour du château surplombant les vallons du Mâconnais, les invités arrivèrent conférant une ambiance de réunion de famille dans la joie des retrouvailles. Bruno Rivier accueillait de nombreuses personnalités, dont Jean Patrick Courtois maire de Mâcon, qui retrouvait Anne Lise Furstoss, procureure de la République, Aurélien Bailly-Salins président du tribunal judiciaire de Mâcon, et bien sûr de nombreux praticiens du droit et de la justice et tous ceux qui travaillent dans cet univers judiciaire.

Le bâtonnier confia en quelques mots, sur le vif, son crédo, la vision de sa mission et du mandat de deux ans qui va s’achever en fin d’année : « L’avocat est le partenaire du quotidien, c’est par un lien de proximité que notre profession s’affirme, mes collègues sont des alliés de la proximité, au barreau nous sommes 75 avocats exerçants et 17 avocats honoraires. »

La nuit venue, c’est dans le cuvage, devenu une belle salle de réception, que se poursuivit la soirée. Dans son discours, le bâtonnier resta fidèle à son image de simplicité, de générosité et de dynamisme à la fois ardent et élégant. Il plaça son intervention sur les trois axes de la simplicité, de la convivialité, et de la motivation surprenante. Après les remerciements adressés à tous ceux qui l’ont aidé dans son bâtonnat, il nous fit partager ses sentiments : « J’emprunte à Socrate son - je sais que je ne sais rien - puis à Nelson Mandela, la formule - je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends » au passage Bruno Rivier rappela l’envie toujours présente et «  pressante », de voir se concrétiser rapidement la pose de la première pierre de la Nouvelle Cité Judiciaire.

La présentation de la future bâtonnière, permit de mettre en lumière Magali Raynaud de Chalonge, «  le bâtonnier doit rester proche de ses confrères et à l’écoute pour continuer sans relâche à se battre. »

J.-Y. Beaudot