Communiqué :
Avec le conflit entre l’Ukraine et la Russie, les prix de l’énergie, déjà au plus haut, ne cessent de s’envoler. Mardi, ils ont atteint de nouveaux records : la cotation du gaz à Amsterdam a grimpé de 79% en quelques heures, le baril de pétrole a passé la barre des 100 dollars, l’essence et le diesel ont franchi les 2 euros /litre à la pompe.
Passif et indifférent au pouvoir de vivre de nos concitoyens qui sont obligés de prendre leur voiture, le gouvernement, par la voix du va-t-en-guerre Bruno Le Maire, a piteusement demandé aux Français de fournir un effort sur leur consommation d’énergie alors que 5 millions des nôtres en situation de précarité énergétique n'allument plus leur chauffage.
A l’instar de la Macronie, la majorité socialo-écolo-communiste de la région Bourgogne Franche-Comté s’est limitée au minimum syndical avec le ticket mobilité, une aide de 20 euros par mois pour les employés dépendants de la voiture pour travailler…
Depuis le début de cette crise, seuls le Rassemblement National et Marine le Pen ont fait preuve de volontarisme pour protéger les Français. Entre la proposition du groupe RN de supprimer la part régionale de la TICPE et le projet de Marine Le Pen de réduire la TVA sur les carburants de 20% à 5,5%, de supprimer la TVA sur la TICPE (la taxe sur les taxes) mais aussi d’annuler les hausses de taxes de 2017 et 2018 décidées par Emmanuel Macron, le Rassemblement National ferait baisser les prix de 44 centimes pour le litre de gazole et de 34 centimes pour le litre d’essence.
Avec cet effort indispensable de l’État et de la collectivité régionale, près de 500 euros de pouvoir d’achat seraient rendus pour chaque famille chaque année.
Pour surmonter cette hausse des prix hors de contrôle, les ménages ne doivent pas baisser la température chez eux. C’est à l’État de refroidir maintenant la pression fiscale pour rendre de l’air aux Français.